Allégeance à la Duchesse Fitzounette

Citation :

Gnaspeuf sans manche

Je, Gerfried de Vilshofen, baron de Cossé-le-Vivien par la grâce de je ne sais plus qui, déclare en passant

Que retenu par quelque tâche ingrate dans une région perdue du royaume - oui, je suis en vacances en Alençon, non ne pleurez pas tout de suite - je ne puis me présenter de moi-même avec mes trois hordes de ragondins, mes archers brandebourgeois et mes colliers de dents pour prêter allégeance à la duchesse en exercice.

Item, déclare que, comme je l'ai fait depuis... pfouu un sacré bout de temps, je re-re-re-re-re-reprête allégeance à l'Anjou et à sa gérante actuelle, que je la gratifie de mon respect, de mon aide, de mon conseil, mais pas du reste ( faut pas déconner, j'étais marié dans le temps ).

Item, certifie que, malgré mon statut de fou à tendance royaliste, mon absence de procès passés et en cours ( malgré de nombreux efforts ), la suspicion qui pèse sur moi me faisant passer pour un ignoble royaliste et quelques dettes non payées, je continuerais de servir l'Anjou, si on me le demande.

Item, je n'ai pas de sceau, donc vous n'aurez rien en plus.

Fait devant les murs de Mayenne, de ma main, le 29 novembre de l'année fiscale en cours

Gerfried de Vilshofen
Baron de Cossé-le-Vivien
Preuve vivante que si il n'en restait qu'un, ce ne serait pas lui

Plongée la tête dans ses papiers , Jo n'avait pas vu le temps passé.

Les inscriptions arrivaient de tout le royaume. Bertrame, le vieux, rangeait les écus au fur et à mesure de leur arrivée. Jo tenait à jour la liste. Tout devait être parfait pour les Joutes. Elle sélectionnait aussi les villageois qui aménageraient le campement , construiraient les tribunes. Il fallait aussi des gens pour remettre en état la lice.... le travail ne manquait pas et cela occupait une bonne partie de son temps, le reste étant consacré à ses autres fonctions.... humm mais surtout à son futur époux.

De plus , Jo devait organiser son voyage.

Relevant la tête , elle s'aperçut que le soir tombait.

-Hum, J'oublie quelque chose... je suis sur.... mais quoi...murmura t elle


Bertrameeeeeuhhh......... Qu'est ce que j'oublie.... une chose importante... mais quoiiiiiii???

Tout à coup , cela lui revint: 1er Décembre... cérémonie d'allégeance..

Elle sortit en trombe du bureau, sauta sur son cheval et galopa jusqu'à chez elle.


Vite une robe... Fanchon.... remet de l'ordre dans ma coiffure.... Jacquou , le carrosse... vite.....

Décidément....nous ne pouvons jamais être à l'heure...

Peu de temps plus tard , elle ariva devant le Chateau d'Angers.

Montant quatre à quatre les escaliers , dans une froissement d'étoffe pas des plus élégant, elle arriva enfin près de la salle du trône.

Remisant sa tenue, reprenant son souffle...Jo y entra l'air de rien, un sourire aux lèvres.


Elle fit la bise à Kilia , une révérence à la Duchesse Fitz, salua Alat' et Lambertine.

-ohh mais je ne suis point en retard dit elle , les yeux pleins de malice.

Aprés s'être portée, de toute sa comtale masse, auprés de la Duchesse et l'avoir salué d'un hochement de tête doublé d'un sourrire tentant de faire oublier la révérence, de toute maniére rendue impossible par l'hébergement offert en son sein à l'engengeance Le Ray qu'elle abrite, la Comtesse s'éclaircie la voix...

E ce jour, Nous, Nebisa de Malemort - Le Ray, déclarons la cérémonie d'allégeance à la Duchesse d'Anjou, Sa Grasce Fitzounette de Dénéré ouverte. Que se présente à présent la noblesse angevine pour bailler les serments convenus à celle qui incarne l'Anjou et que Sa Majesté le Roy Levan a reconnu pour sa vassale aimante et dévouée !

Marquise se présenta à la cérémonie comme elle le devait, bien arrangée comme elle le souhaitait, entre deux dossiers comme elle le pouvait.
Nebisa déclara la cérémonie ouverte juste au moment où elle entra dans la salle. Il y avait plein de monde qu'elle connaissait et qui se connaissaient... Et donc qui discutaient ^^

Plus rapide que tous, elle se présenta la première devant Fitzounette.

Allons, montrons l'exemple, dit-elle en souriant à Fitzounette avant de lui faire la petite courbette de circonstance.

Chère Duchesse, c'est avec plaisir que je renouvelle devant toi aujourd'hui mon serment de fidélité à l'Anjou. Tu pourras compter sur mon aide, que ce soit par mes conseils, ou par ma présence au sein des rangs armés de l'Anjou en cas de danger.

Le salle commence à se remplir doucement. Pas de quoi en faire un fromage, mais tout de même, au moins une poignée d'Angevins n'était pas trop en retard. Elle salue tout ses collégues, connaissances, amis, famille. Quand Marquise s'avance.

A toi, Marquise, Baronne de Durtal, Angevine fidèle et dure à la tâche,
Moi, Fitzounette de Dénéré Penthièvre, Duchesse d'Anjou, ai bien entendu ton serment, et te promet protection, justice et subsistance.

Elle se lève, hésite, un baiser de paix ? Hum, ptèt pas quand même. Allez, une petite accolade pour la Dame !

GdR , qui avait envoyé un message à Dame Nebisa, si d'aventure il n'avait pu se rendre à cette cérémonie , entra .
La salle n'était pas la même que d'habitude , et on n'y trouvait pas de tapis dans lequel il aurait pu se prendre les pieds .....

Il attendit que Quiquise ait terminé , puis en l'absence d'autre volontaire , il s'avança :

Chère Duchesse,
comme à chaque passation de pouvoir, je viens par devant ce trône réitérer mon serment , disant que je suis toujours au service de l'Anjou, et que mes conseils , mon aide , mes coups de gueule , et mon épée seront à son service et donc au tien , jusqu'à ce que mort s'en suive .....

Un petit museau connu :

A toi, geulederat, Seigneur de de Crosmières, Angevin repenti et toujours présent,
Moi, Fitzounette de Dénéré Penthièvre, Duchesse d'Anjou, ai bien entendu ton serment, et te promet protection, justice et subsistance.

Une nouvelle accolade, mais d'où viennent donc ces effluves de Munster ?

Lambertine voyait du monde défiler dans la salle, ou se presser devant le trône de la Petite Reyne d'Anjou. Combien d'année s'étaient écoulées depuis qu'il avait ri à s'en fendre les côtes en voyant la petite Dénéré-Penthièvre envoyer des baisers à la foule, accompagnée d'un crieur qui hurlait à tue-tête "Place, place pour la petite Reyne d'Anjou!"? Il n'aurait su compter. Le jeune homme se tourna ensuite vers la porte pour pouvoir recevoir la petite bourse qu'un garde lui tendait. Souriant en pensant à l'usage qu'il en ferait, il apperçut Kilia prêter allégeance à sa nièce. On voyait ques les Duchesses étaient toutes deux bouleversées. Après l'allégeance de sa cousine Jo, il s'avança à son tour devant le trône.

Souriant de toutes ses dents à la Petite Reyne d'Anjou, il lui envoya la bourse qu'il avait envoyé le garde chercher, et que la Duchesse d'Anjou rattrapa avec grâce. Il mit un genou à terre, et fixant son interlocutrice dans les yeux, il lui dit:

A toi, Dame de la Croixille, Petite Reyne d'Anjou, souriant à ces mots, Lambertine poursuivit, et Duchesse d'Anjou reconnue par nous, tes Conseillers, je t'offre cette bourse et son contenu. Etant membre de la roture, ce qu'il y a dans cette peau de cuir n'est autre que la terre du champs que je cultive avec ardeur depuis si longtemps. Cette terre, parcelle d'Anjou, symbolise l'ardeur que je mets dans mon labeur, continu depuis des années pour notre Anjou. Et aujourd'hui, comme le veut la coutume Angevine, je te prête allégeance, à toi, Fitzounette de Dénéré-Penthièvre. Je t'offre aujourd'hui mon expérience pour gérer les finances du Duché, mes connaissances pour administrer l'Université, mes paroles pour diriger mes deux Ambassades et ma Chancellerie, mes bras pour défendre ce duché que nous aimons tant, et tout ce dont tu auras besoin et que j'aurais la capacité de t'offrir.

Mck se remettait doucement de ses blessures à Saint Gelais. Elle savait que la cérémonie d'allégeance à la jolie Duchesse s'ouvrirait et elle pris sa plume, n'étant toujours pas tranportable jusqu'en Anjou.

Citation :

Ma Duchesse,

Je ne puis point me présenter devant toi, et j'en suis vraiment peinée. Mon état s'améliore, mais il faudra encore nombre de jours pour que je puisse faire route vers l'Anjou. Alors c'est par cette missive que je te présente officiellement mon allégeance.

A toi, Fitzounette, Dame de Croixille, éternelle petite reyne d'Anjou, et Duchesse de notre beau Duché, je promets fidélité, aide et conseil. Que ton coeur te guide comme il le fait jusqu'à aujourd'hui, l'Anjou n'en sera que plus Grand. Toi comme moi nous avons l'Anjou dans notre coeur, et mon bras sera toujours là pour t'épauler et te protéger. Je n'ai point de terre à te donner, je suis trop loin, mais je joins à cette missive un petit quelque chose qui je suis certaine te fera le plus grand bien pour cette cérémonie.

Mckagan,
Ta capitaine toujours là pour te servir.

Mck prépara un paquet, y glissa la lettre et rajouta une petite fiole d'un alcool délicieux qui saura lui faire tenir tout le long de cette longue cérémonie, et la fit porter à la Duchesse dans la salle du trône

Une buse se présenta et suivant un dressage pavlovien sortit la pancarte habituelle "Buse express, 24/24, devis sous la demi heure, intervention dans l'heure" et dans le même reflexe la retourna "contact: 197856" puis se dirigea vers la duchesse.

Elle montra sa patte ou un parchemin brillait de sa couleur parchemin et son oeil, si il fut humain et dotait de la parole, aurait utilisé ces termes: bon, tu te grouilles la! Si je veux tenir le service et notre promesse publicitaire, je dois repartir au taff!

Citation :

Je suis fier, te voila Duchesse d’Anjou, c'est un poste à responsabilités avec un nombre important de personnes en dessous de toi, Je ne connais qu’un poste équivalent : l’entretien des cimetières. Je t’avouerai que je préfère la voie dans laquelle tu t’es engagée !

Enfin, je crois que le résumé de ma pensée revient a une tirade de mon grand père : Pour voir qu'il fait noir, on n'a pas besoin d'être une lumière…Chacun en tirera son interprétation, pour moi, elle est source de fierté en regardant ton règne.

Il n'y a pas de grande réalisation qui n'ait été d'abord utopie et cela me console de voir que le chantier Anjou est enfin commencé et que l’éducation dispensé a une petite buse n’est pas la méthode la plus mauvaise même si elle n’est pas globale.

Promesse fut faite à feu Meroot le stratège et promesse, je m’y tiens. Tu peux compter sur moi en cas de besoin mais je n’apporterai pas le parchemin si besoin réel. T’es plus en âge que je te torche le cul. M’enfin, tu m’as compris.

Auprès de son arbre, elle vivait ...

Vadikura
Ficus 1er

Profitant d'un moment de calme dans les allégeances, la Comtesse Malemort-Chieuse-Maréchale, se glisse jusqu'à la Duchesse pour lui remettre les allégeances épistoliéres

Citation :

Par la grâce d'Aristote,
nous, Jaëlle de Montmorency et Sniper de Montmorency, humbles baron et baronne de Candé-en-la-Mée et Seigneur et Dame de Montrevreau en Anjou,

à vous, Fitzounette, Duchesse d'Anjou par la grâce des urnes,

salut.

Par la présente, nous reconnaissons comme suzeraine vous, Fitzounette, Duchesse d'Anjou.

Que nous vous devons désormais respect (obsequium), aide (auxilium) et conseil (consilium),

Que si un conflit venait vous opposer vous, Fitzounette, Duchcesse d'Anjou, notre suzeraine, à un tiers, nous jurons que nous prendrions cause pour vous.

Que nous ne puissions enfreindre la page de ce serment, ou aller à son encontre par un courage téméraire. Si cependant nous osions le tenter, que nous sachions que nous encourrerions l'indignation du Dieu tout-puissant et de ses bienheureux prophètes.

Pour que l'autorité de notre sermentation obtienne une vigueur plus ferme dans les temps à venir, nous avons décidé de la confirmer par notre main et de la signer par l'impression de notre sceau.

nous Jaëlle de Montmorency et Sniper de Montmorency, humbles seigneurs de la baronnie de Candé-en-la-Mée et de Montrevreau en Anjou, a écrit et ratifié,

Date en l'enceinte du domaine de Montmorency, le samedi 13 décembre 1456.

Qu'il en soit ainsi et heureusement. Amen.

Jaëlle de Montmorency


Sniper de Montmoremcy

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Nouvelle allégeance reçue...

Paquerette a écrit:

Dame Nebisa, je vous remercie de transmettre mon message à Dame Fitzounette

Par la grâce d'Aristote,
nous, Paquerette Mattei de Dénéré, Duchesse du Lude, dame de Sainct Laurent du Mottay, Dame de la Pommeraye

à toi, Dame Fistzounette, Duchesse d'Anjou de par la volonté des Angevins,

Je te salue et t'adresse mes plus vives féléicitations,

Par la présente, je te reconnais comme suzeraine toi, Dame Fistzounette, Duchesse d'Anjou de par la volonté des Angevins,

Je t'assure de mon plus profond respect, de mon aide dévouée et des mon conseil en toute circnstance,

Si un conflit venait vous opposer toi, Dame Fistzounette, Duchesse d'Anjou de par la volonté des Angevins, notre suzeraine, et l'Anjou tout entier à un tiers, je jure que je t'apporterais tout le soutien possible sans me parjurer.

Pour que l'autorité de notre sermentation obtienne une vigueur plus ferme dans les temps à venir, nous avons décidé de la confirmer par notre main et de la signer par l'impression de notre sceau.

Toujours éloignée de l'Anjou, n'ayant que mes pigeons pour m'y faire entendre puisque je n'ai même plus accès au conseil des nobles d'Anjou, je me tiendrais au courant du mieux possible de ce qui se passe dans mon pays d'origine et de coeur.

Ecrit par nous, Paquerette Mattei de Dénéré, Duchesse du Lude, dame de Sainct Laurent du Mottay, Dame de la Pommeraye, le 14 décembre

Qu'il en soit ainsi et heureusement. Amen.